De par le passé, toutes les filières de l’Ecole Supérieure de l’industrie (ESI) de l’Institut polytechnique Félix

Un vivier que pourrait constituer l’INP-HB, ce label, pour les industries du continent africain.

L’objectif, à en croire le DG de l’INP, Dr Moussa Diaby, est de ‘’créer un espace d’échanges, d’inspiration et d’actions pour bâtir une industrie forte.

Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, avaient pour habitude d’organiser des journées spécifiques dédiées, mais avec les mêmes entreprises et industriels qui opèrent dans leurs différents domaines d’activités.

Estimant que ce sont les mêmes acteurs qui embauchent les ingénieurs et techniciens de son institution une fois leurs études terminées, le Directeur général de l’INP-HB de la capitale politique ivoirienne, Dr Moussa Diaby, a voulu innover cette année. Il a réuni toutes les filières de cette école dédiée à l’industrie, pour la semaine de l’école supérieure d’industrie qui a ouvert ses portes le 06 mars 2025, autour du thème : ‘’l’apport de l’industrie dans les objectifs de développement durable’’. Il s’agit de créer un cadre d’échanges entre les élèves des différentes filières de cette école supérieure et les entreprises du secteur industriel.

L’objectif, à en croire le DG de l’INP, est de ‘’créer un espace d’échanges, d’inspiration et d’actions pour bâtir une industrie forte au service d’un avenir durable’’.

C’est convaincu de cet état de fait que le représentant du ministre du Commerce et de l’Industrie, Inza Diabaté, a annoncé pour bientôt, la signature d’une convention avec l’ESI afin de répondre aux besoins ‘’spécifiques’’ en ressources humaines des entreprises du secteur industriel de la Côte d’Ivoire. ‘’L’industrialisation ne peut se faire sans les ressources humaines de qualité’’, a-t-il fait savoir.

Quant au Conseiller technique Abdou Abdou, représentant le ministre de la Communication, parrain de cette 1re édition, il a rappelé les nombreux efforts du gouvernement du Président Alassane Ouattara pour dynamiser le secteur et le rendre plus attractif pour les investisseurs qui auront sans nul doute besoin de mains d’œuvres qualifiées et de qualité. Un vivier que pourrait constituer l’INP-HB, ce label, pour les industries du continent africain.

 

Clémentine Touré