Les banques traditionnelles ne peuvent éviter de s’adapter aux nouvelles exigences et désirs de leurs clients si elles veulent rester pertinentes. L’accent doit donc être mis sur la création d’une solution de portefeuille mobile convaincante qui couvre toutes les situations de la vie.
Les analyses de G+D montrent comment les banques peuvent occuper une place centrale dans les modes de vie connectés de leurs clients.
Le secteur financier est considéré comme un paysage hautement concurrentiel, où les Big Tech et les fintech ont créé une pression concurrentielle supplémentaire grâce à des produits numériques innovants. Les banques qui souhaitent rester pertinentes sur ce marché doivent suivre les dernières évolutions en matière d’expérience utilisateur et adapter leur portefeuille aux attentes croissantes de leurs clients. Alors que les portefeuilles numériques étaient une première étape importante, tirant parti des points de contact existants entre les consommateurs et le service bancaire numérique, la prochaine étape doit être franchie car les banques courent le risque de simplement apporter une autre application bancaire avec des fonctionnalités limitées à un marché déjà surpeuplé.
Les clients disposent déjà de nombreux points de contact avec leur banque pour les questions liées au paiement, telles que l’achat d’un produit financier, la vérification d’un paiement ou le paiement d’une facture. À cela s’ajoute le niveau élevé de confiance que de nombreuses personnes accordent à leur banque «traditionnelle» – plus des trois quarts des consommateurs des principaux marchés européens déclarent que leur principale relation financière est avec une banque traditionnelle.
L’adoption des portefeuilles numériques est en hausse, avec dans le monde 53 % des consommateurs détenant un portefeuille mobile. L’utilisation varie entre 25 % en Allemagne, 65 % au Brésil et 88 % en Inde. (1) La création d’un écosystème de services numériques adaptés aux demandes des clients est non seulement viable, mais également souhaitable. G+D et son partenaire stratégique Netcetera présentent trois façons pour les banques de transformer leurs portefeuilles numériques en super portefeuilles axés sur le client.
Répondre aux besoins des groupes cibles. Les super portefeuilles ne se limitent pas uniquement aux services financiers purs, tels que les transactions, mais couvrent plutôt l’ensemble du mode de vie d’une clientèle très variée, indépendamment de leur âge, de leur maîtrise de la technologie ou de leurs connaissances financières. Ils permettent aux banques d’offrir une large gamme de services pour une variété de groupes cibles : des services bancaires traditionnels et des offres de paiement aux prêts, investissements, assurances et crypto-monnaies, en passant par les voyages ou même les services liés au développement durable. Les solutions bancaires du futur répondent aux demandes des clients qui souhaitent utiliser les solutions digitales facilement et rapidement – améliorant ainsi l’expérience client.
Fidèle à la devise : Une application pour toutes les circonstances.
Construire un écosystème centré sur le client. La base des super portefeuilles et des offres intégrées qui ciblent les besoins des consommateurs sont des écosystèmes fortement en réseau. Dans ces réseaux d’organisations partenaires et de prestataires complémentaires, les banques doivent être au centre et agir en tant qu’acteur principal – qu’il s’agisse d’un écosystème auto-fondé ou non. Ainsi, les banques de détail traditionnelles peuvent survivre sur le marché concurrentiel des services financiers et s’ancrer solidement dans l’univers numérique de leurs clients grâce à une véritable valeur ajoutée.
Offrez une expérience client unique et personnalisée
Aujourd’hui, les consommateurs attendent de leurs banques qu’elles s’adressent à eux d’une manière adaptée à leurs besoins et leur fournissent les services correspondants. Cependant, le spectre est large : selon les préférences personnelles, il va des offres d’achat personnalisées aux notifications lorsqu’un certain solde de compte est atteint, en passant par des conseils d’épargne concrets basés sur les dépenses d’un client. Pour les banques, disposant de toutes ces données, les points de départ sont multiples. Le défi consiste à convertir le trésor de données existant en informations exploitables, à les diffuser automatiquement et à offrir ainsi une valeur ajoutée aux consommateurs. L’important ici est que la protection des données ne doit en aucun cas être ignorée. De nouvelles solutions telles que Privacy Enhancing Technologies (PET) y remédient en travaillant exclusivement avec des données anonymisées et cryptées. De cette manière, les banques peuvent offrir des produits et services personnalisés sans utiliser d’informations personnelles.
« Les portefeuilles numériques ne sont pas seulement une tendance sur laquelle les banques se lancent, mais une nécessité sur un marché déjà sursaturé dans certains domaines », explique le Dr. Carsten Wengel, responsable des ventes et de la distribution mondiales dans le secteur des cartes et des paiements numériques chez G +D « De nombreux clients utilisent déjà ces technologies et d’autres technologies similaires dans leur vie quotidienne et s’attendent désormais à ce que leur banque leur emboîte le pas et leur propose une gamme correspondante de produits et services numériques, regroupés de manière compacte dans une application. G+D, en collaboration avec son partenaire stratégique Netcetera, soutient les banques dans cette entreprise avec une expertise et une expérience dans la fourniture de ces solutions. »
(1) Sur la base des données mondiales « Financial Services Consumer Survey 2021 »
Giesecke+Devrient
Giesecke+Devrient (G+D) est un groupe mondial fondé en 1852 de technologies de sécurité dont le siège est à Munich. En tant que partenaire de confiance des clients les plus exigeants, G+D sécurise les valeurs essentielles du monde avec ses solutions. L’entreprise développe la technologie avec passion et précision dans quatre grands domaines : le paiement, la connectivité, les identités et les infrastructures numériques.
Au cours de l’exercice 2021, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 2,38 milliards d’euros avec environ 11 800 employés.
G+D est représenté par 89 filiales et coentreprises dans 33 pays.